EXEMPLE DE TYPOLOGIE : LE NEPTUNIEN
Au delà de la morphopsychologie, la typologie planétaire influe sur notre corps , notre développement et par extension sur notre vieillissement. Les astres prennent de l’importance dans nos vies aussi selon son âge (âge planétaire). Chaque planète apporte son lot dans l’évolution physique comme psychologique. Si Mercure et Venus prédominent dans les années de jeunesse, la Lune liée à l’enfance tandis que Mars et Jupiter se dévoilent à la maturité et que Saturne impacte le plus dans la vieillesse, ce sont d’abord des indicateurs généraux car en se penchant sur chaque thème natal , on peut déceler le type de vieillissement naturel (visage et corps) par des indicateurs plus personnels. Par exemple l’ascendant et les aspects planétaires qui en découlent laisseront des empreintes sur la typologie vers quoi on tend, le type de visage qui se dessinera au fur et à mesure des années. On observe souvent l ‘impact des planètes Jupiter, Pluton et Neptune à partir de la cinquantaine, comme ci ces planètes prenaient le relais des planètes de jeunesse. Nos visages se transforment naturellement par l ‘impact positif ou négatif de ses planètes. Nos visages se marquent vers des expressions qui dessinent les rides , les marques de notre vie emplies de joies et de souffrances.
Le Cas de Neptune , planète d’eau et de gaz, féminine, émotionnelle, poétique qui en négatif rappelle les addictions , les illusions, les déceptions est très intéressante. Comme les statues (exemple ci-dessous) du dieu Neptune nous montre sa force, sa faiblesse par ce visage marqué et si expressif. Il en va aussi de deux exemples de personnalités qui ont Neptune à l’ascendant qui s’expriment de cette delicatesse , d’intelligence et parfois de souffrance ( Jim Carrey et Simone Veil). Le premier , un visage solaire dans sa jeunesse fait place à un visage tourmenté sous le sceau d’un Neptune à la cinquantaine, une maturité dont le visage devient un livre ouvert dont les rides expriment au mieux son parcours personnel. On observe sur son visage , les rides du front en vaguelettes conformes au visage de la statue. Les poches des yeux , les creux des pommettes accentuent le poids des épreuves , l’inquiétude chez Carrey comme sur le visage de la statue de Neptune. Quand à Simone Veil, femme des plus admirables, Neptune la rendait si poétique dans sa façon de vieillir malgré son histoire si forte. Une douceur du regard si perçant et empathique comme la statue de ce dieu des océans. Son biopic d’ailleurs ne rend pas bien cette dimension certainement à cause du choix d’une actrice botoxée qui malgré le maquillage ne peut rendre crédible l’interprétation de ce grand personnage.
