
Dans les principes de l’Alchimie et des sociétés secrètes ésotériques, on parle souvent du langage des oiseaux pour déchiffrer dans chaque mot des significations cachées. Et le prénom de chacun peut enfermer des codes qui s’inscrivent dans notre destin, notre karma. Bien souvent en lien avec nos vies antérieures, nos blessures à guérir, un champ d’expériences à exploiter. Héritier des anciennes civilisations (Egypte, Mésopotamie), les codifications sont omniprésentes notamment dans l’Ancien Testament où chaque nom ou prénom signifiait une qualité, un don, une formule divine. Transmise aux savants du Moyen-âge, elle fut introduite dans l’Alchimie en particulier. Dans les prénoms français on retrouve également ces archétypes. Gisèle par exemple est un prénom qui porte les traces d’une vie antérieure liée à l’ église ( anagramme) ou d’une présence d’un défunt (Gisant) dans la lignée. Geneviève (je ne vis “Eve”) a souvent des problématiques liés aux femmes, à la faute ou n’assume pas sa féminité, problème d’enfantement aussi. Bruno ( no bru) est confronté à une vie affective souvent difficile , célibat forcé ou subi. Marie est évidemment en lien avec des mémoires religieuses c’est aussi l’anagramme du verbe Aimer ce qui peut donner une personnalité très empathique. Nicole (Nid colle) a des mémoires liées à la souffrance de séparation parentale. Les prénoms bibliques comme Joseph, Michel, Raphael renseignent des besoins de protection familiale. Jules ou Alexandre font référence à des ancêtres liés aux conquêtes parfois même des colonisations, ou des guerriers. Gaspard réapparut après la seconde guerre mondiale ( collaboration ou dénonciation des juifs). Simon ou Pierre souvent ont du mal à incarner leur personnalité complète liée à l’apôtre Simon-Pierre et cette bipolarisation. René(e) remplace souvent un enfant disparu, mort né ou fausse couche. Les prénoms féminins se terminant par “lie” comme Aurélie, Ophélie etc… ont un rapport au lien, à la communication familiale. Nathalie est liée à des karmas de grossesses. Il apparaît aussi qu ‘une personne dont l’entourage donne un surnom aura des difficultés à s’incarner totalement. (des Théo à la place de Théophile ou des Max à la place de Maxime ou Maximilien). Le premier prénom doit être celui qui doit être incarner ( exemple une personne qui n’aime pas son prénom et qui se fait appeler par son deuxième prénom ). C’est l âme qui choisit son prénom d incarnation car il y a les défis de sa trame de vie. Chaque prénom à sa vibration spécifique.